voici un exemple de réponse a vision juste rend cette reponse plus fluide et convainquente tout en y incluent une touche d'ironie Sur Mark, John et le désir : pour mieux te situer je définis le bonheur comme le sentiment d'accomplissement ou de réussite et le malheur au sentiment de déception ou d'échec, on peut aussi la definir a la possession ou non de biens selon ses criteres de valeurs ( la richesse ,La beauté, la santé, la puissance/pouvoir, les honneurs, la connaissance, la justice) selon ses criteres de biens il choisit la proportion qui lui convient, pour ce qui est du comportement addictif ou intempérant (c'est plus un déréglement de l'esprit " la proportion du bien qui leur convient, fluctue plus rapidement" qu'autre chose, il agit comme un récipient troué ou cassé, l'oubli ne lui permettant de rien retenir ) ce dereglement touche surtout ceux qui base la proportion du bien qui leurs convient a des facteur exterieur ( qu'il reussissent ou echouent dans leur quête ils seront toujours de plus en plus frustré et insatisfait) exemple : je souhaite aquerir un petit appart =>aquerir une petite maison=> une grande maison=> un manoire et un yacht. Alors que celui qui choisit des desirs plus abstraits qui dépendent de lui certes il n'est pas exempt de souffrance ou de frustration mais est moins sensible a ce déséquilibre, imaginons batiste a decidé de connaitre un objet x, soit il vas apprendre de nouvelles choses sur x, soit il vas moins croire des choses dont il n'a pas la connaissance sur x, et dans le cas le plus malheureux ( si le problème est trop difficile pour lui) il ne vas ni apprendre ni enlevé de fausses croyances il sera certes autant frustré voir plus, et dans le premier et 2eme cas aussi la curiosité des nouvelles decouvertes risque de ce transformé en nouvelle frustration mais a tout moment il pourra dire, bon je vais faire autre chose pour me changer les idées Sur les cordes : tu dis : " (si ca se subdivise à l'infini, il n'y a pas de "plus petite" corde), mais donc tu ne peux pas dire que la corde ait une masse. Mais alors si on dézoome a partir de non cordes infinitésimal du référentiel selon lequel aucun objet n'existe au référentiel de notre vie de tous les jours; je note que tu as finalement accepté d'inclure implicitement dans ton model l'existence d'émergence, je te rappelle que tu disais :"Même ce que tu appelles "propriété" me pose problème. Car toi, tu vois le char dans son ensemble, avec une propriété d'ensemble qui est de transporter. Moi je vois une roue dont la propriété est de rouler." Sur la vérité : tu dis : "si je la connaissais, je ne pourrais pas l'exprimer" tu semble la lié a intuition inexprimable, l'intuition juste est différente de la science ou de la connaissance . L'intuition juste est vraie, car elle est en conformité par rapport à la vérité ; seulement, l'intuition n'est pas justifiée, celui qui la détient ne sait pas pourquoi il a raison ou tort. C'est pourquoi son opinion peut changer, et devenir fausse, alors que celui qui sait pourquoi il a raison voit son opinion devenir fixe, car liée par un raisonnement.
si un "new age" venait te dire: "ecoute je suis un eveillé, j'ai accomplit le soi, aprés une experience mystique sous champis, mais je ne peux exprimer ce que j'ai découvert ni t'aider dans ton propre cheminement" comment reagirait tu honnetement a un tel propos ?
Sur la localisation :
sais tu que l'interpretation actuel de la physique atomique vas dans ton sens qui a abendonner l'antologie materialialiste depuis les annees 20, avant la mesure et les particules sont decrit comme des ondes dans un espace de configuration( espace de hilbert). Cet espace est un espace fortement abstrait; le mot « réel vient du mot latin res qui signifie «< chose »>; mais les choses existent dans l'espace ordinaire à trois dimensions et elles n'existent dans un espace de configuration abstrait. L'on peut donner aux ondes de cet espace le nom " d'objectives" quand on desire dire que ces ondes ne dependent pas de l'observateur, mais on peut pas les traiter de "reelles" a moins d'etre pret a changer la sigification du mot.
leurs interpretation est tres proche de la philosophie d'aristote : selon la philosophie d'Aristote, Tout ce que nous percevons dans le monde des phénomènes qui nous entourent, c'est de la matière ayant pris forme. La matière n'est pas une réalité en soi, mais seulement possibilité, une potentia; elle n'existe qu'à l'aide de la forme. Dans le processus naturel, « l'essence »>, comme la nomme Aristote, passe de la simple possibilité au réel grâce à la forme; la matière, telle que la voit Aristote, n'est certes pas une matière précise comme l'eau ou l'air mais n'est pas davantage vide😉; c'est une sorte de substratum matérialisé non définitière »
exemple : La statue existe potentiellements de dans le marbre avant que le sculpteur la dégage.
nous pouvons dire que la matiere d'aristote, qui n'est autre que potentia, devrait etre comparé a notre concept d'energie qui passe au "reel" a l'aide de la forme au moment ou se cree la particule elementaire.
Bien sûr, voici une version plus fluide et convaincante de ta réponse, avec une touche d'ironie :
Sur Mark, John et le désir :
Pour te donner un peu de contexte, je définis le bonheur comme ce doux sentiment d'accomplissement, tandis que le malheur, c'est plutôt le goût amer de la déception. On pourrait aussi dire que le bonheur se mesure à la possession de biens, selon nos propres critères de valeur : richesse, beauté, santé, pouvoir, honneurs, connaissance, justice... Chacun choisit la proportion qui lui convient, un peu comme un buffet à volonté.
Quant aux comportements addictifs, c'est un peu comme si l'esprit était un récipient troué : la proportion de bien qui leur convient fluctue plus vite qu'un yo-yo. Ces personnes, souvent, se laissent happer par des facteurs extérieurs. Qu'ils réussissent ou échouent dans leur quête, la frustration est leur compagne de route. Prenons un exemple : je veux un petit appartement, puis une petite maison, ensuite une grande maison, et pourquoi pas un manoir avec un yacht ? C'est un peu comme un jeu vidéo où l'on débloque des niveaux sans jamais vraiment être satisfait.
À l'inverse, ceux qui choisissent des désirs plus abstraits, qui dépendent d'eux-mêmes, connaissent certes des souffrances, mais ils sont moins sensibles à ce déséquilibre. Imaginons Baptiste qui décide d'explorer un objet X. Soit il apprend de nouvelles choses, soit il se débarrasse de fausses croyances. Dans le pire des cas, il ne fait ni l'un ni l'autre et se retrouve frustré. Mais au moins, il peut toujours se dire : "Tiens, je vais faire autre chose pour me changer les idées." Une belle manière de fuir, n'est-ce pas ?
Sur les cordes :
Tu dis : "Si ça se subdivise à l'infini, il n'y a pas de 'plus petite' corde." Mais alors, comment peux-tu affirmer que la corde a une masse ? En dézoomant à partir de ces cordes infinitésimales, on réalise que dans un référentiel où rien n'existe, tu as finalement accepté d'inclure l'idée d'émergence dans ton modèle. Je me souviens que tu disais : "Même ce que tu appelles 'propriété' me pose problème." Ah, la belle ironie de voir une roue qui roule sans jamais vraiment comprendre le char dans son ensemble !
Sur la vérité :
Tu affirmes : "Si je la connaissais, je ne pourrais pas l'exprimer." Cela semble lier la vérité à une intuition inexprimable. Mais l'intuition juste, c'est différent de la science ou de la connaissance. Elle est vraie, car elle est en accord avec la vérité, mais elle n'est pas justifiée. Celui qui la détient ne sait pas pourquoi il a raison ou tort. C'est pourquoi son opinion peut changer, tandis que celui qui sait pourquoi il a raison voit son opinion se figer, comme une statue dans le marbre.
Imagine un "new age" qui te dirait : "Écoute, je suis éveillé, j'ai accompli le soi après une expérience mystique sous champis, mais je ne peux rien exprimer ni t'aider." Honnêtement, comment réagirais-tu à un tel propos ? Peut-être en te disant que la prochaine fois, il devrait choisir un meilleur guide spirituel.
Sur la localisation :
Savais-tu que l'interprétation actuelle de la physique atomique va dans ton sens ? Depuis les années 20, on a abandonné l'ontologie matérialiste. Avant la mesure, les particules sont décrites comme des ondes dans un espace de configuration, un espace hautement abstrait. Le mot "réel" vient du latin "res", qui signifie "chose", mais ces choses n'existent que dans notre espace ordinaire à trois dimensions. On peut appeler ces ondes "objectives" pour dire qu'elles ne dépendent pas de l'observateur, mais les traiter de "réelles" serait un peu comme essayer de faire entrer un éléphant dans une boîte à chaussures.
L'interprétation de la physique moderne est très proche de la philosophie d'Aristote. Selon lui, tout ce que nous percevons dans le monde des phénomènes est de la matière ayant pris forme. La matière n'est pas une réalité en soi, mais une possibilité, une potentia. Elle n'existe qu'à travers la forme. Dans le processus naturel, "l'essence", comme il l'appelle, passe de la simple possibilité au réel grâce à la forme. La matière, telle qu'Aristote la voit, n'est pas une matière précise comme l'eau ou l'air, mais un substratum matérialisé non définitif.
Prenons l'exemple de la statue qui existe potentiellement dans le marbre avant que le sculpteur ne la libère. On pourrait dire que la matière d'Aristote, qui n'est autre que potentia, devrait être comparée à notre concept d'énergie qui devient "réelle" au moment où se crée la particule élémentaire. Une belle métaphore pour rappeler que parfois, il faut un peu de temps et de créativité pour révéler la beauté cachée dans le marbre de notre existence.
Voilà, j'espère que cette version te convient mieux !